À Dijon comme dans beaucoup d’endroits, le 18 décembre fut l’occasion de rappeler l’existence d’une catégorie de personnes qui, par choix ou pas, migrent vers des horizons nouveaux. La journée des migrant·e·s nous rappelle que ces derniėr·e·s sont plus ou moins stigmatisé·e·s selon leur origine, et que de celle-ci dépendent généralement leurs conditions de vie.
Vus les chiffres et les méthodes pratiquées, cette journée nous rappelle aussi que Dijon n’est pas un endroit où il fait bon migrer : dénonciations, (...)